shooter (tireur d'élite) : pas vraiment dans le 1000...

    Hier, le nouveau film d'Antoine FUQUA est sorti sur les écrans avec Marc Whalberf et Danny Glover (en méchant, ça change depuis la Couleur Pourpre, c'est assez rare...)

En furetant sur le net pour trouver l'affiche d'illustration de mon post (parce que je suis consciencieux je fais des recherches, attention!), j'ai trouvé l'affiche originale située à droite, qui a attiré mon attention d'amateur de jeux en fps (first person shooter) sur un détail.
Vous voyez pas la différence?
Forcément là, c'est frappant... C'est deux armes différentes, avec également un fond différent qui donne à ma droite un film urbain avec un bon vrai fusil de précision militaire, et à droite un côté plus bucolique avec ce qui pourrait -finalement n'être qu'une carabine de chasse, autre endroit, autre ambiance quoi... J'ai trouvé ça marrant et on dit merci qui? Hein? Merci Photoshop :p
Bon trève de plaisanteries.
C'est l'histoire d'un sniper qui s'est rangé après avoir été lâché et avoir perdu son équipier et qui reprend du service (super original comme pitch hein?) pour une bonne (?!) cause, sauf que... Les choses ne sont pas ce qu'elles semblent être et le voilà piégé et proie au lieu d'être chasseur (wouah c'est bon t'es dans le truc là...).

Tadaaaaaa... Et donc suspence... Enfin pas tant que ça, parce que c'est finalement hyper convenu comme scénario, super huilé avec les pseudos rebondissements attendus, les relations entre personnages sans doute aussi un peu convenues, la love story bidon, aie aie aie. En fait c'est pas compliqué j'ai eu un peu l'impression de voir un film dans lequel JcvD n'aurait pas démérité, à l'époque où il faisait encore des films qui sortaient au cinéma (ça c'est méchant quand même...) parce que là, Marc Whalberg, on est content, il a bien fait sa muscu mais du coup il prend le côté héros musculeux un peu interchangeable.
Même les scènes d'actions restent banales et c'est bien dommage, parce que Antoine FUQUA nous a habitué à autrement mieux avec les Larmes du Soleil, film assez mineur certes, mais où les scènes d'action avaient une réelle intensité dramatique, dans une situation finalement analogue de poursuivant/poursuivi...
Dans le style le Sniper avec Tom Berenger, tout petit film était un peu mieux foutu.
Maintenant il faut reconnaître que si on ne s'est pas autant gavé que moi de films d'actions de toutes sortes, on passera sans doute un agréable moment.
Pour moi, ça reste trop lisse...
Mince... Ca yest je recommence à faire des posts trop longs et chiants.....