Lundi n'est pas forcément ravioli
Lundi c'est 3x3.
Comme couché à 3h du matin trois soirs de suite.
Y a t'il eu des fiesta sans fin (enfin si plutôt avec une fin prématurée vu l'heure) trois jours de suite? Des libations à n'en plus finir?
Non. Point du tout, même pas.
Juste histoire d'accumuler de la fatigue...
C'est d'ailleurs assez paradoxal, vu qu'en semaine, je sombre vers 23h ces derniers temps.
Ben là j'ai pu renouer avec les programmes tv nocturnes (et découvrir à quel point le week-end ils sont de piètre qualité), mais sans retomber sur le fameux histoires naturelles plus tardif malheureusement ainsi qu'avec le temps des angoisses.
Je dois donc à ce week-end de délicates cernes noires qui mettent en valeur mon regard par ailleurs peu avenant (que je travaille avec relativement de bonheur actuellement).
Rien d'extraordinaire donc ces deux derniers jours, une défaite rugbystique pas très originale, une quête pour trouver des escapins noirs avec patins façon années 50 (non pas pour moi merci bien...), une coupe de cheveux plus dégagée euh... partout et de la glandouille hier.
Rien de transcendant à part une non moins persistante inaptitude à profiter de mon lundi matin libre (oui je sais je ne travaille que 4 jours et demi par semaine, de là à imaginer que je bénéficie d'un régime spécial, il n'y a qu'un pas... D'ailleurs ;) mais non je ne conduis pas de trains).
C'est idiot pourtant il faisait beau, ainsi que le démontre l'élégante photo ci-dessus, empreinte d'automne et de soleil frisquet (allez, on respire profondément et on se détend, vous qui ne voyez que du gris! voilà c'est gratuit -commandez vos clichés nature par email), non je ne vis pas dans une cabane au fond d'un pré, mais ma retraite reste définitivement campagnarde (pas la peine de chercher des petits détails invisibles sur la photo, c'est juste du vert et du bleu).
Mais là maintenant c'est retour au boulot et ça c'est comment dire... Ben c'est juste comme ça rien mais rien de plus.