tel un château de cartes...
Le premier dommage collatéral n'a pas vraiment tardé.
Enfin collatéral.
Et ce avant même le dernier feu de camp, celui où on se demande si on repartira ensemble ou séparément (eeuuuh, non, là je m'égare)
Les congés que je projetais pour la fin septembre viennent d'être balayés d'un geste inquiet par mon boss qui craint bien sûr qu'en mon absence, le monde ne s'effondre. Enfin plus sûrement que la mécanique se grippe ne serait-ce qu'un temps soit peu.
Bye bye soleil de fin d'été, re bye bye Marrakech.
Il est des destinations comme cela où, on ne sait pourquoi, on ne parviendra finalement jamais à se rendre. Ce sera donc -encore- pour une autre fois. Ceci dit c'est peut-être un signe et il est sans doute temps de se projeter ailleurs pour rompre le sortilège que mon stagiaire sur le départ m'a manifestement - le vil coquin- lancé.
Me voilà coincé par l'arrivée ô combien aléatoire d'un(e) remplaçant(e).
Bon, j'ai réussi malgré tout à faire admettre de ne pas pousser l'aléa au delà de la fin octobre (parce que sinon, au moi de mai prochain, je peux encore attendre alors bon, je suis patient mais il ne faut pas non plus pousser mémé dans la cuve d'acide chlorydrique), alors même que cela renvoie à une destination plus lointaine.
Le fourbe, si il faut, il l'avait prévu :p