short week...
La semaine sera courte, ce qui est un point positif, de retour après un léger retard sur le vol, comme toujours ou presque (enfin pour ma part en tout cas, aujourd'hui c'était le tobbogan qui refusait de s'armer, ce qui semble valider le paradoxe suivant: toboggan désarmé = danger).
J'ai peu posté ces derniers temps par manque de temps, je vais m'y tenir davantage même si je n'écris pas une encyclopédie tous les jours. De même que je vais retourner de façon plus assidue au sport, prendre plus soin de moi (ce qui va signifier dormir pas mal également).
Paris c'est fini une fois de plus.
Un week-end qui est passé extrêmement vite.
L'impression de ne pas avoir fait grand chose et pourtant! Un resto le vendredi soir malgré mon arrivée retardée (quand je dis que les retards sur les avions, je les accumule) rue Oberkampf, un petit tour dans le quartier le samedi matin, une sieste récupération/préparation physique pour le soir, un dvd blaxploitation avec Pam Grier, quelques minutes au téléphone avec dfp, ce sera partie remise lors d'un prochain séjour pour prendre un verre! Et le soir retour au Clown Bar rue amelot avant de partir pour le rex, non sans un arrêt redbull au préalable! (l'âge ne fait rien à l'affaire!).
Dimanche, réveil à la mi-journée, après un petit déjeuner très matinal, petit détour par la place Vendôme (pointe de snobisme dominicale sans doute) avant de grignoter tardivement dans le 11ème, histoire de prendre des forces pour le concert de la fin d'après-midi Silver Jews au Point Ephémère qui nous gratifie de balades aux sonorités folk mais également souvent pop, bercés par la voix envoûtante du chanteur. Il y a du Lloyd Cole dans certains titres, comme il y a du Honkytonk man dans d'autres. Une bonne surprise musicale, parfaite pour nous accompagner dans la fatigue relative du début de soirée. Assez heureusement, nous avons évité les effusions incontrôlables (projection d'ordures, sac poubelle sur la tête, escalade du bar, des éclairages et de tout ce qui pouvait être escaladé...) du chanteur du groupe Punk rock de la première partie qui a donc jeté son dévolu sur ses musiciens. Du grand n'importe quoi.
Et c'est déjà fini. Un goût amer alors qu'il n'y avait pas de quoi s'ennuyer, il faut déjà reprendre, ben oui, c'est ça la vraie vie.